Birthdate of Gaspard Gustave de Coriolis
Gaspard-Gustave de Coriolis (21 May 1792-19 September 1843) was a French mathematician born on the 21 May 1792 in Paris. He is famous for his work on the motion of fluids within a rotating frame of reference (e.g. the large-scale movement of our atmosphere above the rotating Earth). This is seen most prominently when gases and fluids (such as the atmosphere) are subject to both gravitational forces and convective processes, such as the atmospheres of the major planets. The effect is the source of the prevailing winds (e.g. the trade winds) on Earth, and the large-scale rotational patterns within the atmosphere of Jupiter.
Gaspard Coriolis was from a well-off family with origins and links to some of the provincial aristocracy, so his father Jean-Baptiste Elzéar de Coriolis (1754-1811) could afford to give him a good education at the local boarding school in Nancy. Gaspard proved to be an excellent student, and his teacher put him in a special mathematics class at the age of 14.
In 1808 he went to the prestigious Ecole polytechnique classed 8th out of the 157 students admitted, and then moved on to study at an excellent Civil Engineering establishment (le Corps des ponts et chaussées). It was while he was studying there that he wrote an important essay on ‘moments’ for which he received the second prize in the category of applied mechanics.
Gaspard-Gustave de Coriolis (21 May 1792-19 September 1843) was a French mathematician born on the 21 May 1792 in Paris. He is famous for his work on the motion of fluids within a rotating frame of reference (e.g. the large-scale movement of our atmosphere above the rotating Earth). This is seen most prominently when gases and fluids (such as the atmosphere) are subject to both gravitational forces and convective processes, such as the atmospheres of the major planets. The effect is the source of the prevailing winds (e.g. the trade winds) on Earth, and the large-scale rotational patterns within the atmosphere of Jupiter.
Gaspard Coriolis was from a well-off family with origins and links to some of the provincial aristocracy, so his father Jean-Baptiste Elzéar de Coriolis (1754-1811) could afford to give him a good education at the local boarding school in Nancy. Gaspard proved to be an excellent student, and his teacher put him in a special mathematics class at the age of 14.
In 1808 he went to the prestigious Ecole polytechnique classed 8th out of the 157 students admitted, and then moved on to study at an excellent Civil Engineering establishment (le Corps des ponts et chaussées). It was while he was studying there that he wrote an important essay on ‘moments’ for which he received the second prize in the category of applied mechanics.
The Earth from space
(Courtesy NASA; Apollo 17 mission)
(Courtesy NASA; Apollo 17 mission)
On leaving this school he started work on various projects and proved himself to be very able. Then in May 1812 he was appointed to assist the then director of the Ecole des ponts (a prestigious science and engineering university), but towards the end of that year he fell ill with a fever and general malaise (which was possibly the first manifestation of the illness which led to his death), and had to take a year out resting at his family home.
Coriolis had always liked sciences and on the 10th January 1817 he became repetiteur of analysis and mechanics at the École polytechnique. He progressed to professor of geometrical analysis and general mechanics at the Ecole centrale des arts et manufactures where he enjoyed carrying out scientific research at the same time. On 28 January 1836 he was elected a member of the Academy of Sciences. And finally in 1838 he was appointed the director of studies the École polytechnique where he remained until his untimely death in 1842.
Coriolis had always liked sciences and on the 10th January 1817 he became repetiteur of analysis and mechanics at the École polytechnique. He progressed to professor of geometrical analysis and general mechanics at the Ecole centrale des arts et manufactures where he enjoyed carrying out scientific research at the same time. On 28 January 1836 he was elected a member of the Academy of Sciences. And finally in 1838 he was appointed the director of studies the École polytechnique where he remained until his untimely death in 1842.
Gaspard-Gustave de Coriolis (21 mai 1792-19 septembre 1843) était un mathématicien français né le 21 mai 1792 à Paris. Il est célebre pour son travail sur le mouvement des fluides dans un référentiel en rotation (par ex. le mouvement à grande échelle de notre atmosphère au-dessus de la Terre en rotation). On le voit le plus souvent quand les gaz et les fluides (tels que l’atmosphère) sont soumis à des forces gravitationnelles et à des processus convectifs tels que les atmosphères des planètes. L’effet est la source des vents dominants (par ex. les alizés) sur la Terre et les bandes de nuages dans l’atmosphère de Jupiter.
Il vient d'une famille aisée et son pere Jean-Baptiste Elzéar de Coriolis (1754-1811), est issu d'une famille influente au sein de la noblesse de robe provençale. A cause de cette aisance financière Gaspard est inscrit dans un internat de la ville de Nancy. Le jeune homme se montre très intelligent, et son professeur l’accueille dans une classe de mathématiques spéciales à l’âge de 14 ans.
Il vient d'une famille aisée et son pere Jean-Baptiste Elzéar de Coriolis (1754-1811), est issu d'une famille influente au sein de la noblesse de robe provençale. A cause de cette aisance financière Gaspard est inscrit dans un internat de la ville de Nancy. Le jeune homme se montre très intelligent, et son professeur l’accueille dans une classe de mathématiques spéciales à l’âge de 14 ans.
Jupiter
(Courtesy of NASA : Cassini mission)
(Courtesy of NASA : Cassini mission)
En 1808 il est admis à l’Ecole polytechnique classé 8e sur les 157 élèves admis. Après avoir terminé ses études il entre dans le Corps des ponts et chaussées et pendant ses études à cet établissement il se distingue lors d’un concours: il rédige un mémoire portant sur les ‘moments’ pour lequel il reçoit le second prix dans la catégorie ‘Mécanique appliquée’
À sa sortie des Ponts et Chaussées, Coriolis fait ses premiers stages où il fait de très bon travail et est très apprécié par son patron. Et en mai 1812 il est rappelé à Paris afin d’assister le directeur de l'École des ponts, mais vers la fin de cette année il tombe malade avec une fièvre et débilite générale (qui était peut-être la première manifestation de la maladie dont Coriolis mourra) et donc il doit se reposer chez sa famille en Lorraine pendant un an.
Coriolis avait toujours aimé les sciences et le 10 janvier 1817 il est nommé répétiteur du cours d'analyse et de mécanique donné par Augustin Cauchy à l'École polytechnique. Il progresse au poste de professeur d'analyse géométrique et de mécanique générale à l'Ecole centrale des arts et manufactures, et il s’occupe en même temps à des activités de recherche. Il est élu membre de l’Académie des sciences le 28 janvier 1836 (section de mécanique) et en 1838 il devient directeur des études à l'École polytechnique gardant cette position jusqu’ à sa mort en 1842.
À sa sortie des Ponts et Chaussées, Coriolis fait ses premiers stages où il fait de très bon travail et est très apprécié par son patron. Et en mai 1812 il est rappelé à Paris afin d’assister le directeur de l'École des ponts, mais vers la fin de cette année il tombe malade avec une fièvre et débilite générale (qui était peut-être la première manifestation de la maladie dont Coriolis mourra) et donc il doit se reposer chez sa famille en Lorraine pendant un an.
Coriolis avait toujours aimé les sciences et le 10 janvier 1817 il est nommé répétiteur du cours d'analyse et de mécanique donné par Augustin Cauchy à l'École polytechnique. Il progresse au poste de professeur d'analyse géométrique et de mécanique générale à l'Ecole centrale des arts et manufactures, et il s’occupe en même temps à des activités de recherche. Il est élu membre de l’Académie des sciences le 28 janvier 1836 (section de mécanique) et en 1838 il devient directeur des études à l'École polytechnique gardant cette position jusqu’ à sa mort en 1842.